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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 01:03

 

C'était au temps de leur jeunesse.

Vous les avez tous connus... mais oui voyons, rappellez-vous.

 

Andrac Marie

 

Marie Andrac épouse Adrien Blanc

 

Biagini Emilie et Otello

 

 Emilie et Otello Biagini

 

Douguet Jules

 

 Jules Douguet

 

Gradassi Alice

 

 Alice Gradassi

 

Gradassi Rose

 

Rose Gradassi épouse Emile Douguet

 

Laugier Joséphine 

 Joséphine Laugier dite Fifi épouse Emile Degeneve

 

Pelegrin Joséphine

 

 Joséphine Pelegrin dite Fifi épouse Jules Troin

 

Albert Garcin

 

 Albert Garcin

 

Marie Rubis

 

Marie Rubis épouse Gaston Banat

 

Marie-Louise Chiapello épouse Conte

 

Marie-Louise Chiapello épouse Pierre Conte  

  Barre-fleurs-rge-blc.gif

  

J'ai téléchargé d'autres photos. Je vous invite à aller voir mes albums.

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 00:00
     Clapiers-1.jpg
 
  Célestin Clapiers est l'un des trente-quatre "Morts pour la France" qui figurent sur le Monument aux Morts de Trans en Provence. Il avait le grade de caporal. Il faisait partie du 173è Régiment d'Infanterie. L'année dernière, sa petite-nièce Liliane et son mari Noël se sont rendus au cimetière militaire d'Esne-en-Argonne, près de Verdun, où il repose. Né à La Motte le 23 août 1893, il est mort le 4 juillet 1916 en défendant le village d'Avocourt-sur-Aisne, il aurait eu 23 ans au mois d'août.
A cette époque, la grand-mère de Liliane, Pélagie, avait à Verdun, son mari Edouard, son frère Célestin et son beau-frère Marius Brunengo, qui est aussi porté sur le monument de Trans. Seul son mari Edouard Brunengo est revenu car il avait été fait prisonnier.
 
Memorial.jpg
 
Memorial-2.jpg
 
Clapier-2.JPG
 
Liliane rend hommage à son grand-oncle en déposant un bouquet de fleurs sur sa tombe
 
Clapier-3.JPG
 
 Toutes les photos ont été faites par Noël.
Merci à lui de me les avoir communiquées et de m'avoir autorisée à faire cet article.
J'ai trouvé la carte ci-dessous sur Wikipédia.
 
Avocourt.jpg
 
Si vous voulez en savoir plus sur le 173ème R.I. j'ai trouvé ce lien :
 
Si vous désirez rechercher des renseignements sur un combattant, je vous conseille le site du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants : "Mémoire des Hommes" dont voici le lien : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/index.php
 
D'autre part, j'ai téléchargé à partir de ce site les fiches individuelles des soldats qui figurent sur le Monument aux Morts de Trans en Provence. Je les ai mises dans un album-photos que vous pouvez consulter dans la colonne gauche du blog.
 
 
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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 20:32

 

BAUCHIERE-GERFFROY 

Acte de mariage d'Antoine Bauchière et Honorade Gerffroy (Photo Nadine)

Sous l'Ancien Régime, les registres de catholicité étaient tenus par les curés.
En ce qui concerne les archives de Trans, la totalité des archives communales anciennes a été déposées aux Archives Départementales à Draguignan pour y être conservées. C'est là que je me rends pour effectuer mes recherches généalogiques.
Je vous présente la photo d'un acte de mariage qui figure dans le registre dont je vais vous parler. Il s'agit d'un acte daté du 27 juin 1672. 
C'est l'acte de mariage d'Anthoine Bauchière et Honnorade Gerffroy, deux noms caractéristiques de Trans à cette époque".

Transcription de l'acte que j'ai pris en photo :

 

"Anthoine bauchiere fils de feu bernard et de Marchuanne bittarde de ce lieu de trans a pris pour femme et legitime expouze par le S(aint) sacrement de mariage apres trois publicaons (publications) honorade gerffroy fille a feu jacques et de honnorade giberte tous du mesme lieu pnts (présents) les parans des parties de part et d'autre celebre par nous sousigne le vingt et sept juin mil six cent soixante et douze dans lesglise parochialle de ce lieu aus formes accoustumees et de pnce (présence) de pons orgias tisseur a toille honnore roux mesnager françois guiol aussy tisseur a toille et autres qui ont declaré ne scavoir (savoir) signer a l'exclution dudit pons orgias qui a signe". (Nota : j'ai respecté l'orthographe).

****************************

Ce registre contient les actes de baptêmes, mariages et décès des années 1668 à 1673.

   

Pour cette période, on trouve 271 baptêmes, 198 décès, 66 mariages.

Le nombre des baptêmes présente un excédent de 73 unités sur le nombre des décès.

La moyenne annuelle des mariages est élevée. L'ensemble dénote un état de prospérité remarquable. Si on classe les décès d'après les mois pendant lesquels ils se sont produits, on constate que le nombre des décès est maximum en octobre.

La mortalité enfantine était énorme : elle s'élevait à 44%.

Il existait de 30 ans à 50 ans une période de vitalité remarquable. Fait rare pour être souligné : il a été enregistré à la date du 10 novembre 1668, le décès d'une femme centenaire, Catherine Roux.

Pour la période considérée sur les 198 enfants venant au monde le nombre des survivants devait être : à 5 ans de 111, à 10 ans de 102, à 20 ans de 92, à 30 ans de 75, à 40 ans de 64, à 50 ans de 55, à 60 ans de 28, à 70 ans de 13 et à 80 ans de 2.

Les noms de famille que l'on trouve répétés plus de 5 fois dans les 536 actes de la période étudiée sont les suivants : 43 Blanc, 41 Orgias, 34 Boyer, 39 Guiol, 29 Giraud, 23 Garcin, 23 Geoffroy, 23 Pic, 22 Roux, 20 Augier, 20 Bauchière, 19 Goiran, 16 Taxil, 15 Audemar, 15 Mouret, 15 Bernard, 12 Castellanet, 8 Déous, 7 Clumens, 7 Perrinet, 6 David, 6 Dol, 6 Reynaud.

Les Raphard, très nombreux au XVIe siècle tendaient vers la disparition. Les Pellerud dont une rue portait le nom en 1582, subissaient une éclipse passagère. Les Henry, meuniers venus de Montferrat, commençaient à apparaître. Les Castellanet avaient laissé tomber la particule dont le nom de quelques uns d'entre eux s'ornait au milieu du XVIe siècle. Les familles qui se donnaient alors le titre de "bourgeoises", sont aujourd'hui complètement éteintes. C'étaient les Garcin, les Goiran, les Laurens, les Pic, les Rey, et les Thomé de la Plane.

Ces derniers avaient une situation tout à fait prépondérante : Gaspard de la Plane avait épousé Françoise de Lautarel morte à 72 ans en 1672, et son fils Anthoine était le mari d'Anne de Reymondis.

Il y avait deux famille bourgeoises du nom de Garcin dont les chefs, deux frères, Isnard et Balthazar Garcin étaient tous deux notaires royaux ; et trois familles du nom de Pic.

Les Goiran était toute une légion qui comprenait, outre Messire Charles Goiran docteur en théologie et prieur de Trans, quatre familles pourvues de nombreux enfants : Angelin, notaire royal, puis Antoine, Gaspard et Jean, tous trois grands propriétaires. Immédiatement en dessous de ces apparents, venaient les familles de Maymes Bernard, riche ménager, et de Jean Blanc, maître chirurgien.

 

Source : D'après "Les Archives de Trans en Provence" - Jean Barles - N°22 -

Mars 1932. 

Barre-anges.gif

 

 

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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 00:00

 

Monument place de la Victoire 

Le Monument aux morts de Trans-en-Provence a été érigé par souscription publique et inauguré le 30 avril 1922. Il est situé sur la place de la Victoire. L'architecte en est Emile Tardieu de Nice.

Il s'agit d'un obélisque de pierre qui porte en façade un médaillon de Poilu ainsi que les inscriptions commémoratives suivantes :
Au Poilu,
Honor.
Trans à ses enfants morts pour la France.
1914-1918.
Passant, salue ses braves.
Suivent les noms des victimes de la Grande Guerre par ordre alphabétique.
Sur une des face latérales est sculptée la Croix de guerre.
Voici les noms :
AUDEMARD Baptistin

AUDIBERT Joseph
AYCARD Lucien
BERAUD Emile
BREGONSUL Alfred
BRUNENGO Marius
CASTELLAN Marius
CLAPIER Célestin

CLAPIER Marius
DANYS Fernand

DEOUS Louis
ESTEQUE Paul
FELIX Marius
GAMEL Jean-Marie
GASTINEL Gabriel
GHIGO Louis
GUIOL Daniel
ISNARD Casimir
JUGI Pierre
LABROSSE Marcel
LAZARE Jules

LAZARE Victor

LIONS Adrien
LIONS Marius
MINGEAUD Victor
MIREUR Justin
ORGIAS Louis
PEYRON Ernest
REYNIER Hubert
ROUX Léonce
RUBIS Baptistin
TAÏS François
TRIPOUL Célestin
VINCENT Alexandre
 

Monument cimetiere

 

  Dans le vieux cimetière, une grande stèle, où figurent les noms de trente-quatre morts ou disparus, surmontée d'une croix a été érigée par

"La commune de Trans à ses enfants morts pour la France".

Sur cette stèle figurent aussi ceux qui ont été tués pendant la guerre 1939-1945.

DUHAA Roger

VANZI Joseph

MERLINO Pierre

DAUMAS André

MARTEL André

DAVID Raymond

 

Monument eglise

 

Dans l'église, une silhouette guerrière de Jeanne d'Arc prend place au centre d'un autel commémoratif de la guerre 1914-1918.
Les diverses batailles et dates importantes y sont mentionnées : 
La Marne 6-7 septembre 1914 ;
Nancy 5-12 septembre 1914 ; l'Yser 1-15 novembre 1916 ;
Verdun 22 février-novembre 1916 ;
Armistice 11 novembre 1918 ; Paix 28 juin 1919.
Les patronymes des disparus sont gravés sur des plaques de marbre placées de part et d'autre de la statue.

Source : L'art et la mémoire de 1914-1918 dans le Var. Sylvie Mattone-Vastel et Georges Meissonnier (Il fut l'un de mes amis, généalogiste averti et passionné par l'histoire de son village des Arcs-sur-Argens. Il est décédé il y a quelques années).

 

*******************************

 

 

  Mon arrière-grand-père maternel Paul Alexandre VINCENT (né le 21 novembre 1869 aux Arcs-sur-Argens) est inscrit sur le Monument aux morts de Trans en Provence. Il est décédé le 26 janvier 1917 à l'âge de 47 ans à l'Hôpital militaire Sainte-Anne à Toulon des suites de ses blessures alors qu'il était en service commandé dans la forêt du Dom avec son unité.

 Il est "Mort pour la France" selon la formule consacrée.
Il a laissé sa femme : Thérèse qui portera son deuil le restant de sa vie (elle mourra en 1959) et ses trois filles : Marguerite, Marie-Louise (ma grand-mère) et Irène qui deviendront Pupilles de la Nation.

 

Jun08180.JPG

 

 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 19:55

 

Attaque-de-diligence.jpg

 

Cela se passait au printemps 1801 sous le Consulat. A cette époque, il y eut en France une flambée de banditisme terrible. Les campagnes étaient la proie de bandits que l'on appelait les chauffeurs parce qu'ils brûlaient la plante des pieds de leurs victimes pour leur faire révéler la cachette de leur or. Les routes n'étaient pas sûres et les voyageurs isolés étaient agressés. A Trans, comme partout ailleurs, on vivait dans une atmosphère d'insécurité dont témoignent les récits ci-après.

Le 11 prairial de l'an IX, Joseph Roux, laboureur de Trans, fait au maire le récit suivant : "Le 5 courant à 9 heures du soir, il passait sur le chemin qui va de Trans au Muy, quartier de Saint-Vincent, monté sur un âne, lorsqu'il entendit crier derrière lui : "Arrête !" et de suite on lui lâcha un coup de feu chargé à petits plombs qui perça ses habits et atteignit sa monture. Et comme ledit Roux voulait s'enquérir d'où le coup était parti, il fut assailli par une grêle de pierres qui paraissaient venir du bosquet voisin et être lancées par plusieurs personnes. Il prit la fuite et ses assaillants le poursuivirent à coups de pierres jusqu'au chemin du Peycal, où ils le quittèrent en lui disant que s'ils n'avaient pas pu l'atteindre de jour, ils l'auraient de nuit.
Quelques jours plus tard, c'est un propriétaire du Puget près de Fréjus, Louis Barbe qui déposa plainte : "Allant du Puget à Draguignan, ce jourd'hui 22 prairial, il fut arrêté à 7 heures et demie du matin sur les limites des terroirs de La motte, du Muy et des Arcs, sur le Grand Chemin par deux hommes dont l'un posté derrière un buisson le tenait en joue avec un fusil. L'autre s'approcha de lui un pistolet à la main : "Arrête ! La bourse ou la vie !" Barbe jeta deux écus de six francs et trois autres petits écus. L'homme l'obligea ensuite à descendre de cheval pour le fouiller. Il lui déroba encore trois louis d'or et une montre en or. Après quoi, Barbe s'en demander son reste remonta à cheval et piqua des deux en criant : "Au voleur !" mais il ne trouva personne dans les environs pour venir à son secours. Celui qui l'avait fouillé paraissaît être âgé d'environ 45 ans pour 1,60 mètre, le bas de son visage était caché par un mouchoir. Il avait les yeux noirs, les cheveux peu fournis, il portait un grand chapeau noir, un gilet noir, une culotte longue de grosse toile grise, en manches de chemise avec un pistolet d'arçon.

Enfin le dernier récit a pour théâtre un endroit où la tradition transiane place volontiers les histoires de brigands. Lorsqu'on va de Trans aux Arcs et après avoir dépassé la montée pour redescendre vers Les Arcs, on se trouve dans une gorge assez sombre que l'on appelle "La Gouargue de Rastéou", "La Gorge de Rateau". Ce Rateau était semble-t-il un bandit qui attaquait les diligences à cet endroit. Le 12 floréal de l'an IX, Jacques Achard, cordonnier de Draguignan raconta à la maréchaussée l'agression dont il venait d'être victime à cet endroit mal famé. "Ce jourd'hui 12 floréal, il fut interpellé à l'heure de midi sur le chemin des Arcs par deux hommes armés chacun d'un fusil. L'un était habillé de gris avec des guêtres de peau, un chapeau rond, ayant le bas du visage couvert d'un mouchoir et l'autre homme était habillé d'une étoffe de couleur verte, d'un chapeau rond et de guêtres de peau. Ayant pointé leurs fusils sur lui, ils lui demandèrent sa bourse. Achard leur lança 60 francs mais apparemment insatisfaits, ils le fouillèrent pour lui prendre encore quelques écus qu'il avait dans les poches de son corset. Celui par qui il avait été fouillé partit avec l'argent en disant à l'autre : "Ramasse ta part par terre !" Achard se voyant seul avec celui qui ramassait l'argent par terre, a pris une pierre et l'a jetée avec force sur le dos du voleur qui étourdi du coup et bien qu'armé d'un fusil, a pris la fuite et laissé par terre 32 francs qu'Achard a ramassés".

 

Source : Archives communales de Trans - Série sur la Justice.

 

En savoir plus sur "les chauffeurs"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chauffeurs 

 

 

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 00:33

 

Trans-Chapelle-Notre-Dame-et-cooperative-vinicole.jpg

 

Carte postale des années 70 sur laquelle on voit la coopérative vinicole (le grand bâtiment blanc à droite).

 

Etant en pleine période des vendanges il me semble à propos de vous parler de la dernière assemblée générale de la coopérative vinicole qui eut lieu en 1988. C'est Robert Gerbino qui m'a passé cette coupure de journal et je l'en remercie. La coopérative vinicole de Trans a été détruite en 1990 ou 1991.

 

"Depuis de nombreuses années, la viticulture est en déclin sur notre commune. Le développement de l'immobilier, la spéculation foncière, la rentabilité insuffisante de certains cépages, la concurrence imposée par le marché commun et le peu d'entrain manifesté par les jeunes pour assurer dans ce domaine la relève de leurs aînés ont, en effet, accentué le recul de la vigne, le plus souvent au profit de l'urbanisation. Conséquence de cette évolution, la coopérative vinicole de Trans construite en 1940 dans une période faste pour les vins du terroir, a eu au cours de ces dernières années, devant la diminution des apports et la restriction des débouchés, parfois du mal à gérer excédentairement la production de ses viticulteurs. Ainsi, la constatation d'un manque de rentabilité réitéré entraînant des difficultés de trésorerie, ne remettant cependant nullement en question la qualité des vins produits, ont déterminé le conseil d'administration de la coopérative à prononcer il y a environ un an, la fermeture de celle-ci et à conclure un accord avec la coopérative de Draguignan, afin que cette dernière accueille l'ensemble des cépages Transians. Malgré ce tranfert définitif de responsabilités dès la saison 1987-1988, le conseil d'administration a continué à gérer la récolte 1986-1987 et lundi soir devant une trentaine de coopérateurs, il présentait pour la dernière fois les comptes financiers de l'excercice précité. Après avoir lu et fait approuver à l'unanimité des membres présents le procès verbal de la dernière assemblée générale du 28 août 1986, le président Monsieur Gerbino aidé par son commissaire aux comptes, Monsieur Ballatore, se mit à détailler l'excercice financier de la saison 1986-1987. Durant les vendanges 1986, la coopérative a reçu 733 230 kg de raisin, dont 12 230 kg d'hybrides, qui ont produit 5 871.40 hectolitres de vin parmi lesquels 5 198.40 hectolitres sont constitués de vins marchands. Les recettes d'exploitation portant sur les ventes tous frais déduits et comprenant entre autres les A.O.C., les clairettes, la vente en coopérative, la ventilation de la production et la consommation familiale en vins divers s'élève à 1 803 523.75 F. Ces recettes sont en augmentation par rapport à 1985 qui est essentiellement due à un accroissement substantiel de la production de 1986. Les charges diverses règlées et les subventions diverses enregistrées en trésorerie, on constatera finalement que pour cet excercice le bénéfice s'élève à 1 125 572.78 F. Le compte des coopérateurs présente de son côté un bénéfice de 540 277.28 F. devant être prochainement réparti entre les coopérateurs. Après des éclaircissements apportés par Monsieur Ballatore sur des points comptables, réglementaires et sur la modalité de la fusion contratée avec Draguignan, Monsieur Gerbino clôturait la séance en proposant la distribution dun reliquat de 120 bouteilles de mousseux invendues aux coopérateurs présents.

 

Source : Var-Matin du samedi 13 août 1988.

 

 

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 10:59

 

Jojo GIRAUDO

 

Jojo Giraudo installée au bord de la route pour vendre ses raisins.

Ce devait être dans les années 70-80.

 

Vendanges chez Fernand CLAPIERS

 

Les vendanges au Lauron chez Fernand Clapiers. On reconnait Fernand, sa femme Rolande, à l'extrême droite Maurice Leca et Robert Garcin.

 

Madame AGNESE

Madame AGNESE

  Infatigable Madame Agnese qui cueillait banettes (haricots verts) et petits pois et revenait à pied de Vallaury le panier chargé. Une trotte jusqu'à village à son âge !

 

César MONTRUCCHIO

 

César Montrucchio en pleine cueillette des olives.

 

Ida LAMBERT & Claudine ANDREANI 

 Ida Lambert et Claudine Andréani à la cueillette des olives. Remarquez l'échelle et les draps intallés par terre pour y faire tomber les olives.

 

Georges BARRET-Philippe- Nadia BLANC-Mireille MARTIN

 

Nadia Blanc installée devant la fontaine de la place de l'Hôtel de ville pour vendre ses pêches. De gauche à droite, Georges Barret mon papa, Philippe qui tient le Bureau de Tabac, Nadia et son amie Mireille Martin.

 

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Allez voir mes albums photos (colonne de gauche), il y en a d'autres.

 

 

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29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 00:00

 

Pendu.jpg

 

On sait que, sous l'Ancien Régime, le suicide était considéré comme un crime. Le suicide est en effet, un homicide volontaire mais d'une caractère un peu particulier, puisque c'est un homicide de soi-même.

  Dans le courant du mois de janvier 1742, près du village de Trans, on trouva un homme pendu à un olivier. Il s’agissait d’un soldat du régiment de Cambrésis, originaire de Draguignan et nommé Jean PASCAL. Il y avait à l’époque à Trans, une juridiction seigneuriale. Elle comprenait un juge qui était habituellement un avocat ou un gradué en droit de Draguignan. Il était quelquefois remplacé par un lieutenant de juge qui était généralement un bourgeois transian. Enfin, un procureur juridictionnel, généralement lui aussi un bourgeois, représentant le ministère public. Dans le cas de notre pendu, le procureur juridictionnel fit procéder à une enquête, à la suite de laquelle le juge prononça sa décision après avoir pris l’avis de deux gradués en droit.

Voici cette déclaration : "Déclarons Jean Pascal, fils de Jean, soldat au régiment de Cambrésis, atteint et convaincu du cas et crime de s’être deffaict soi meme en se pendant et s’étranglant avec une corde par le col, sur un olivier derrière le village. Pour réparation dudit crime, avons condamné la succession dudit Pascal à cent livres d’amende envers le procureur juridictionnel et le cadavre à être livré entre les mains de l’exécuteur de la haute justice pour le traîner sur une claye (claie) par tous les carrefours de ce lieu et de suite le jeter à la voirie sans sépulture. Mais parce qu’il ne peut être procédé à ladite exécution que de l’autorité de la Cour au siège de Draguignan, ce qui exige trait (sic) de temps, pour obvier à l’infection du cadavre qui pourrait nuire aux habitants, avons ordonné qu’à la poursuite du procureur juridictionnel et aux dépens du Domaine, le cadavre sera incessamment éventré et embaumé, jusqu’à ce qu’il plaise à la cour de statuer sur l’exécution de la présente sentence. Auquel cas, le justaucorps du défunt sera rendu à son capitaine par Pic qui s’en trouve chargé et de la garde du cadavre, lequel en remettant le tout en la force de notre sentence demeurera du tout et valablement déchargé sauf ses frais.

Fait à Trans avant midy, en jugement dans l’auditoire de justice, le 19 janvier 1742".

Le 22 janvier, la Cour prononça un arrêt aux termes duquel elle confirmait la sentence du juge de Trans. Elle y ajoutait que le cadavre resterait pendu par les pieds pendant deux heures à la place publique et ensuite traîné et jeté à la voirie.

Le tout fut exécuté le 26 janvier.


Source : Les Archives de Trans en Provence – N° 1 – Jean Barles

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 17:34

 

Mesdames-Agnese-Douguet-German-Mazza-Route-de-la-Motte

 

Cette photo m'a été donnée il y a quelques temps. Elle ne figurait donc pas à mon exposition de juin 2006 à l'Hôtel de ville de Trans en Provence.

Que puis-je vous en dire ?
Elle a été prise d'après moi dans les années 70. 
C'est sur la route de la Motte. Les dames sont assises sur le muret du jardin de Jules Douguet en face de la maison de Célestin (Titin) Corsi et se font soleiller car d'après leur habillement, cette photo a été prise en hiver.
Les avez-vous reconnues ?
Il s'agit de Mmes Agnese (la mère de Jeannot), Rose Douguet, Denans et Mazza.

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 17:34

 

Devant le moulin à huile

 

Un Transian sympa, en l'occurence, Jean-Pierre Jugi, m'a écrit pour me donner les noms des personnes qui se trouvent sur la photo que j'ai intitulée : le temps des copains.

Il me dit qu'il s'agit de l'équipe de foot de l'époque, joueurs et dirigeants. Je vous donne les noms, de gauche à droite :

Antoine BRONDELLO, Jean-Claude LOVERA, Joseph WEITEN, Jean-Louis ANDRAU, Jacky PERRIMOND, Jean-Marie LERDA, Jean BOLLA, Jean-Pierre LAMBERT, Jean-Claude SAPPA, Pierre MIREUR, Jean-Paul GARCIN, Bruno GASCA, Louis LUCCERINI, Roger PERRIMOND, Albert BENATI, René ANDRAU, Robert GARCIN, Maurice LAMBERT, David SCIANDRA, Louis CESANA.

Un grand MERCI à toi Jean-Pierre.

 

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